Changer de vie, pour s’identifier au meilleur et non au pire.

Les gens les plus heureux ne sont pas ceux qui ont le meilleur de tout. Ils font le meilleur avec tout ce qu’ils ont.

Il y a des gens qui ont tout et semblent toujours insatisfaits. D’autres remercient la vie pour ce qu’ils ont et passe à l’action pour obtenir ce qu’ils n’ont pas. D’autres prônent qu’ils se contentent de peu, mais se plaignent constamment que la vie est injuste! Dans quelle catégorie retrouve-t-on les gens les plus heureux? Et dans laquelle souhaitez-vous être?

C’est toujours une question de l’idée qu’on s’en fait, me direz-vous, et vous avez raison. Mais, je me demande pourquoi, lorsque je vous dis que votre vie se passera tout à fait bien, avec satisfaction à 95 % du temps, vous m’envoyez paître la pâquerette dans le pré joli? Je suis certaine que si nous comptabilisions ensemble toutes les appréhensions que vous avez tenues dans votre tête depuis votre naissance et le nombre de malheurs qui vous sont réellement arrivés, le pourcentage totaliserait à peu près de 5 %.

Pourquoi toujours croire au pire? Cela vous rend heureux de choisir cette option? Pourquoi vivre toutes vos journées en attente d’un malheur possible? Si vous le vivez à l’avance comme s’il était déjà là, serez-vous plus prêt à l’affronter? J’ai des petites nouvelles pour vous : les malheurs arrivent souvent au moment où l’on ne les attend pas. Et avouez qu’on finit toujours par trouver une solution.

«What you focus on, expend » nous dit T. Harv Eker. Ce sur quoi vous mettez votre focus prend de l’ampleur. C’est une loi universelle qui explique la loi de l’attraction. Souhaitez-vous vraiment attirer le malheur dans votre vie? J’espère que non.

J’ai remarqué que certaines personnes lorsqu’ils sont heureux se sentent coupables et vont se remettre à l’ordre… un malheur est si vite arrivé. Sont-ils plus heureux ainsi? À leur place, j’utiliserais le temps perdu à m’en faire, pour me demander pourquoi je ne crois pas autant à mon bonheur. Pourquoi est-ce que je ne lui donne pas autant de place dans ma vie?

Parfois par paresse, par oisiveté, par amertume, par déception, par frustration, par éducation ou pour attirer simplement l’attention, on se croit malheureux et l’on envie les « bienheureux » tout en les traitant d’inconscients, de naïfs! Je le sais, je l’ai déjà fait! Et si c’était nous qui percevions la vie de la mauvaise façon?

La solution? Passez à l’action. Les gens occupés, les gens actifs, ne se plaignent que rarement. Ils sont trop affairés à avancer, à préparer, à aider, à créer, à réussir. C’est souvent en s’éloignant quelques heures de nos problèmes qu’on finit par trouver la solution.

Vous êtes responsable de vous rendre heureux en faisant le meilleur avec tout ce que vous avez. Vous ne réussirez pas en vous plaignant toujours de ce qui vous manque.

Si vous avez envie de changer de dynamique, cessez de demander et dites merci. Tout de suite, maintenant, remerciez sincèrement trois personnes ou événements de la journée. La gratitude est la gousse d’ail pour repousser le vampire qu’est votre ego. Et commencez à mettre l’accent sur ce qui va bien. Et recommencez tous les jours. Une gymnastique qui musclera votre bonheur entre les deux oreilles.